Letra de ´c'etait l'hiver
Francis Cabrel
Elle disait : j'ai déjà trop marché mon coeur est déjà trop lourd
de secrets, trop lourd de peines,
elle disait . je ne continue plus ce qui m'attend je l'ai vécu,
c'est plus la peine,
elle disait que vivre était cruel, elle ne croyait plus au
soleil, ni aux silences des églises,
même mes sourires lui faisaient peur, c'était l'hiver dans le
fond de son coeur,
Le vent n'a jamais été plus froid,
le pluie plus violente que ce soir-là
le soir des ses vingt ans,
le soir où elle étaient le feu,
dérriere la facade de ses yeux
dans un éclaire blanc.
Elle sûrement rejoint le ciel
elle brille á côte le soleil
comme des nouvelles églises
mais si depuis ce soir-là je pleure
c'est qu'il fait froid
dans le fond de mon coeur.
de secrets, trop lourd de peines,
elle disait . je ne continue plus ce qui m'attend je l'ai vécu,
c'est plus la peine,
elle disait que vivre était cruel, elle ne croyait plus au
soleil, ni aux silences des églises,
même mes sourires lui faisaient peur, c'était l'hiver dans le
fond de son coeur,
Le vent n'a jamais été plus froid,
le pluie plus violente que ce soir-là
le soir des ses vingt ans,
dérriere la facade de ses yeux
dans un éclaire blanc.
Elle sûrement rejoint le ciel
elle brille á côte le soleil
comme des nouvelles églises
mais si depuis ce soir-là je pleure
c'est qu'il fait froid
dans le fond de mon coeur.
Letra de ´C'etait L'hiver de Francis Cabrel
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